Il y a longtemps, déjà, mon père photographiait ces cyprès, en noir et blanc, je les reconnaitrais entre mille. Ils n’étaient pas encore buttés sur leur crête, pour précisément éviter la mort, pour résister aux coups de vents tour à tour marin, mistral et tramontane, ils n’étaient pas encore assourdis par le défilement de l’autoroute ni menaces par le métal des hangars commerciaux, non ils contemplaient la vigne et l’étang, et au delà, le trait bleu de la mer.
il a raison Francis (voir twitter) tes ciels sont irremplaçables, j’ajouterai qu’ils nous sont indispensables, merci Louise pour tous ces ciels…
Un grand merci Christine ! Sincèrement touchée…
Il y a longtemps, déjà, mon père photographiait ces cyprès, en noir et blanc, je les reconnaitrais entre mille. Ils n’étaient pas encore buttés sur leur crête, pour précisément éviter la mort, pour résister aux coups de vents tour à tour marin, mistral et tramontane, ils n’étaient pas encore assourdis par le défilement de l’autoroute ni menaces par le métal des hangars commerciaux, non ils contemplaient la vigne et l’étang, et au delà, le trait bleu de la mer.